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31 janvier 2013

boredom

Tiens il paraitrait qu'avoir des fêlures est normal mais que les aimer sortirait de la normalité, cloué sur la croix vous voilà bien bas, mais laissons brûler le ridicule des yeux fermés tant que l’espoir gît bâtard tout près de la folie, contre-révolution, accélérateur à fond pour sécher l'ennui, jack est de retour et il ne connait pas la modération, sur son périph, que de cœurs calcinés, que de corps en morceaux, de nos vies piètres maçons ne survivra que fumées de passés effondrés, courir, fuir, sourire mais ne pas s'ouvrir, passé trouble subjectif, états d'urgence, offense enfance, distorsions, que rajouter quand tout à été dit, que tout ai été chié, remâché, mais jamais digéré, tendre la main à qui, au vent, au prince charmant, mais s'il était noir barbiturique sortit de l'enfer de Kubrick, aurais-je les mêmes frissons ou n'est-ce qu'un rêve à la con.

Je n'en profiterais pas, on ne me cherche toujours pas, vive le roi, aimer c'est comme bander il en faut de la volonté mais ou est elle passée chienne assumée, dans les soupirs de l'envie, je n'étreint que l'ennui, les cris et l'oublie, ce n'est un secret pour personne, je hais les femmes autant que les hommes.

Délires Symphonique, vomir me donne la trique, quand sonne l'apothéose, c'est le monde que j'expose au coups de mes immondes névroses, time to me, times to be, que de temps perdu, que de gens déçus, mais si la vie n'avait aucuns sens, que d'ambulances, pas d’hôpitaux, que de troupeaux ... à dépecer ?!? Me pardonnerais t-on pour toute cette eau salée versée par ces petits cœurs déchirés, mes crocs acérés, ma haine déchainée aujourd'hui encore, de ne jamais mouiller au port, de rendre tous les coups, de ne jamais aller jusqu'au bout, de ne pas marcher sur les routes, de n'avoir aucuns buts, de n'engager aucunes luttes, de ne jamais avoirs de doutes.

La lumière s'éveille sur les obscurs, on ne change pas de nature, ni de peau, je ne suis pas chaméleon, seulement ombre d'une ombre parmi les ombres, flacon vide que la vie inonde de la lassitude du monde, simplement noyé, un anonyme paumé.

 [Je n'ai jamais fuis, je n'ai fais que changer de direction parce que la seule alternative à aller droit dans le mur est de tourner en rond.]

Brdm

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22 janvier 2013

De la Merde en suspension

L'amour ça ne sert à rien, c'est compliqué, pesant et entravant, ça pue le remord, te charrie des tonnes de poissons déjà mort et l'air de rien t'embarque dans la grande spirale des torts, ne te rendra jamais fort, simple boulet mais prophète des faibles, le guide sans lumière te mène au précipice ou de toutes façons tu y touchera le fond.

 Rien ne sert de mourir, il faut souffrir à point.

constantine-2801448438

 

 

22 janvier 2013

commensurable nature inhumaine ...

ça renifle, ça chiale, ça vomit, ça s’émeut s'indigne et sexe prime, changer les serrures et masquer la pourriture, toucher le fond parce que ce n'est pas si facile de plomber l'instinct de survie, toucher le fond parce que là j'ai pied, parce que là plus de marée, loin des faux airs qui m'abimes, peut-être prendre racines, ou alors m'exiler dans vos nouveaux charter pour pédés, les paroles prêchées, sociétés immaculées, rêver d'être vivant, le combat de la chaire sous la peau distendue mais pour l'âme jamais de mue que cet unique corps qui pue, lambine et s'obstine à ramper, à tracer juste parce qu'encore quelques dents plantées, des tas de merde à charrier, des cadavres à déterrer, à bout de doigts décharnés, la mère s'en fout,enfante hémophile, la détresse subtile, s'écoule futile dans les artères, too heavy to carry but the ground will dry everything and worms take you, des hivers entiers encore à se geler, fallait payer la facture, remettre une couche de peinture, ne pas rester dans le noir à bouffer du cafard, chien de la chambre froide, qui l'air de rien aboie pour que l'écho lui réponde, les yeux crevés d'avoir trop cherché la lumière, au moins il se sentira moins seul, aussi bien que nulle part ailleurs, peut importe les linceuls, les peaux tannées et les pluies à venir, le premier ou le dernier soupir, pas de porte pour sortir, pas d'issues pour s'enfuir et revenir, pas de périscope pour voir arriver les statuts du passé, des vers uniques locataires pour chemin salutaire, insondable nature inhumaine sur le charnier te promène, mais tu n'auras pas ma peau, il ne reste que des os.

index4 (2)

 

 

7 janvier 2013

Thème Quais de Seine - Saez - Messine

7 janvier 2013

La leçon de salaud (3ème degrés d'infamie)

laid composé bordel de bonheur hystérique faire d'une vie un problème mathématique mais si c'est loin la somalie trop près reste le ghetto des sensations colères frénétiques génocide de blanc-bec lettrés mal lunés overdose de salopards et de chiennes délurées génétiquement modifiés elle est ou la liberté promesse de fin du monde détresse dans un putain d'immonde qui viendra chier sur nos tombes moi j'ai le fiel au bord de la gerbe mais le temps imparti est bientôt révolu et la grâce ne saurait toucher la plèbe que d’éphémère portés aux nues brochette de trou du cul, amour à mort amers amorphe délivrés délirez-moi, desgarrotez les moi et tirez vers le bas rejoindre la plénitude des anars chiés par des verves pseudo mélancoliques suintant le long des bouches oniriques des néo sphères artistiques, vibrantes à en faire jaillir le pathétique bonheurs spasmodiques, s'assoupir dans le présent des passés sans avenir, changer de chaire serait inutile autant courir de putes en plaintes, pas de réconfort pas de douce chaleur, de peau de fantôme à peau de chagrin rien qui ne me retiens,allez viens donne moi la main et je ne t’emmènerais pas près de moi pas à pas dans les nulles part, là ou rien n'existe surtout pas toi, plus de chiens pas de jardins, rien que la pluie pour se laver s'embourber, s'effacer et se diluer dans les petits bouts semés qui ne laissent que le vide pour combler, cimenté lézardé effondré, nouveaux cadavres à délivrer et que tourne l’espoir sur la grande roue du dénie, je finirais bien quelque part même si c'est loin de vos paradis à gueuler dans le brouillard que l'autre dans le miroir ne passera pas la nuit, ne passera pas l'ennui et tout ce verre dans ma bouche qui lamine ce que des lèvres je touche et qui n'ouvre que de nouveaux ravins en moi et de l'impossible me fais roi. alors ne reste que courir, courir plus vite que tout ces soupirs volés dans ces petites morts, ces petits corps que j'aurais d'une fière pourriture souillés, les peaux arrachées et les âmes brûlées pour éclairer mon visage qui dans le noir ne cherche qu'à s’effacer......

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