Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
scarifications
7 janvier 2013

La leçon de salaud (3ème degrés d'infamie)

laid composé bordel de bonheur hystérique faire d'une vie un problème mathématique mais si c'est loin la somalie trop près reste le ghetto des sensations colères frénétiques génocide de blanc-bec lettrés mal lunés overdose de salopards et de chiennes délurées génétiquement modifiés elle est ou la liberté promesse de fin du monde détresse dans un putain d'immonde qui viendra chier sur nos tombes moi j'ai le fiel au bord de la gerbe mais le temps imparti est bientôt révolu et la grâce ne saurait toucher la plèbe que d’éphémère portés aux nues brochette de trou du cul, amour à mort amers amorphe délivrés délirez-moi, desgarrotez les moi et tirez vers le bas rejoindre la plénitude des anars chiés par des verves pseudo mélancoliques suintant le long des bouches oniriques des néo sphères artistiques, vibrantes à en faire jaillir le pathétique bonheurs spasmodiques, s'assoupir dans le présent des passés sans avenir, changer de chaire serait inutile autant courir de putes en plaintes, pas de réconfort pas de douce chaleur, de peau de fantôme à peau de chagrin rien qui ne me retiens,allez viens donne moi la main et je ne t’emmènerais pas près de moi pas à pas dans les nulles part, là ou rien n'existe surtout pas toi, plus de chiens pas de jardins, rien que la pluie pour se laver s'embourber, s'effacer et se diluer dans les petits bouts semés qui ne laissent que le vide pour combler, cimenté lézardé effondré, nouveaux cadavres à délivrer et que tourne l’espoir sur la grande roue du dénie, je finirais bien quelque part même si c'est loin de vos paradis à gueuler dans le brouillard que l'autre dans le miroir ne passera pas la nuit, ne passera pas l'ennui et tout ce verre dans ma bouche qui lamine ce que des lèvres je touche et qui n'ouvre que de nouveaux ravins en moi et de l'impossible me fais roi. alors ne reste que courir, courir plus vite que tout ces soupirs volés dans ces petites morts, ces petits corps que j'aurais d'une fière pourriture souillés, les peaux arrachées et les âmes brûlées pour éclairer mon visage qui dans le noir ne cherche qu'à s’effacer......

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Archives
scarifications
Newsletter
Publicité