Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

scarifications

22 janvier 2013

De la Merde en suspension

L'amour ça ne sert à rien, c'est compliqué, pesant et entravant, ça pue le remord, te charrie des tonnes de poissons déjà mort et l'air de rien t'embarque dans la grande spirale des torts, ne te rendra jamais fort, simple boulet mais prophète des faibles, le guide sans lumière te mène au précipice ou de toutes façons tu y touchera le fond.

 Rien ne sert de mourir, il faut souffrir à point.

constantine-2801448438

 

 

Publicité
Publicité
8 janvier 2024

Mea Culpa, chamanisme et taxidermie

Il se disait mortel

Je lui souhaitais " Meilleure santé "

Son dernier crachat du matin prélevé sur ma face...

Avec peine

Avec haine.

Un an a tenter de boire cul-sec..

Je décide enfin de lui rendre sa liberté que je gardais

mème loin de lui...

Ne me jugez pas il faut le vivre pour savoir..

Lui seul sait vraiment le pourquoi du comment...

Mème moi me suis perdue dans mes propres décisions

radicales.

A cet homme consigné, aprés des tonnes de bouteilles

à la mer je demande pardon.

Qui donc était-il pour me jeter ainsi dans la violence?

Je me suis tous les jours posée la question..

Me connaissant personne ne tenterait.

Pourtant il m'a rendu à la fois si angoissée...si fragile

cupide et tellement stupide !!!

Au départ j'ai cru à une anecdote de plus dans ma vie.

Mais il m'a aplati ma poitrine avec sa plaque de

radioscopie...il a tout vue en moi.

Qui donc était-il pour me passer de femme à majorette ?

Juste que je comprenais son noir qu'il expulsait à grand

coup de rage..

Que je touchais du doigt son monument aux morts...

J'ai tenté des tonnes de fois à le ramener à notre réalité.

Mais ma place était prise.

Pour qui je me prenais moi pour croire un instant ètre

sacrée à Ses yeux * ?

Le poids des morts a trop pesé sur la balance de mon

Amour pour lui.

Mon cercueil il le trouvait trop fleuri je le sais...

Mon épaule était tellement lourde aussi...

Il pensait ne mériter que poussière...misère et haillons.

Une vraie teigne qui pourtant avait une soif encore plus

grande que nous de reconnaissance.

Qu'il renaisse enfin de ses cendres voila ce que je lui

souhaite.

Loin de ma rancoeur et de mon ironie si contradictoire....

Qu'il arrete de courir aprés sa propre queue..

Il s'est déguisé en facteur pour tromper mon âme mais

toujours je l'ai reconnu..

Et de cocue fatigué je suis passé veuve d'un vaurien qui

valait tout pour moi.

Je voulais lui rendre sa liberté.

Je m'en pensais capable...tu parles !!!

Au contraire comme un tas de merde sacré je ne l'ai pas

laché.

Me lamenter de mon chagrin est devenu mon quotidien...

Tassée sur mon chagrin je ne suis presque rien.

C'est comme si il m'avait arraché un sein putain !!!

Voilà pourquoi mon accouchement là...

Me délier de ce voyou que j'aimais comme une dingo et

lui lacher ses menottes..

Ne plus tromper le temps a attendre celui qui me l'a tué !

Assassiner le mal que je cultivais comme les fleurs de

ces cimetières vides.

Chanter comme avant !!!

Accepter enfin qu'il avait tout calculé pour que jamais ma

lumière ne rentre dans sa tombe..

Digérer que mème moi et mon tant d'Amour n'arrive a le

ressuciter...

Malgré tout je tiens à dire qu'il reste dans un coin de lui

une toute petite lumière..

Dans ses déchirures, dans ses films noirs, dans sa

cruauté envers moi, dans l'assassin des ressenties qu'il

est...

Elle brille de son sourire

Loin des mensonges...loin de ma langue colérique elle

éclate encore de toute sa beauté !!

Elle seule arrive à lui rayer son sale casque d'une étoile

poétique.

La seule vers qui il ne sortira jamais son poing et sa

haine...

Celle mème qui fait que malgré tout, tous les soirs le

soleil se couche dans mon coeur...

Notre Pacha.

Je lui rends grâce aussi de m'aider à pardonner et finir

ce bouquin...

C'est l'écriture qui nous a uni un jour..

C'est encore elle qui nous aura séparé ici bas..

Mea culpa.

 

(TEXTE Intégralement de Pantxiqua64)

7 mars 2023

Lettre à personne

bbb86a19d451e2302c61c6c456703fd6 (2)

Tu ne sera jamais qu´une ex ou une inconnue pour moi et si je suis en colère contre toi c'est parce que tu étais censée me connaître et tu n´à rien vu venir tu ne m´as pas écouté quand j´ai appelé à l´aide pour te prévenir que j´y arriverais pas que c´est pas pour moi que je suis en souffrance et que rien ne me sortira de cette état, que me faire une fille même si je l´aime inconditionnellement n´est que me rajouter de la souffrance parce que maintenant je m´en veux aussi de l´avoir mise dans de ce monde de merde et que d´avoir un père comme moi est une malédiction, même si tout le monde pense que je suis intouchable que la douleur et la souffrance que je crée me glisse dessus sache que toutes ces personnes qui me déteste ne pourrons jamais égaler la haine que je porte en moi contre moi quand à ceux qui diront que je faisais très bien semblant ou que je suis un sacré menteur je dirais simplement que vous vous n´avez absolument pas le sens de l´observation.

Ce message tu ne le recevra pas et du coup tu ne le liras pas parce que tu pensera certainement que j´essaye de te manipuler ou de faire passer la faute sur toi alors que non c´est moi qui vais mal, qui ne tourne pas rond, c'est moi que le noir envahi sans arret qui fais du mal parce que la colère d´avoir été trompée est plus simple à gérer que de te demander pourquoi je pars si je n'ai pas l´air d´avoir de raisons, ça m´est un plus acceptable d´être ton méchant ça ne rajoute qu´un peu de douleur sur une balance qui penchait déjà du mauvais côté...... je ne me cache pas derrière ma souffrance il n´y a qu´elle et c'est elle qui se cache derrière mon moi vide parce que je suis vide, froid et sans consistance, je ne te reproche rien tu a fais se que tu pouvais mais s´acharner ne redonne pas vie

.

13 septembre 2022

Il pleut....(ezekiel is back)

 

La voilà, on l'attendait....

Il pleut, c'est beaucoup mieux

Non pas pour oublier ni que pour pleurer,

Mais aussi pour effacer les marques à la craie

Mais pas les pensées, les mauvaises les malaises, 

Cercueils et chrysanthèmes.

C´est beaucoup trop de travail,

Que d´effacer ses traces. 

Qu´Il en faut de la patience et de l´implication

pour raté sa vie sans notifications.

Chronophage et energivore, 

J'ai soigneusement brûler tous les ports.

Je m´étais dit que je dormirai quand je verrai le phare, 

Mais ça fait des siècles que j´navigue dans l´brouillard.

 

 

 

 

 

 

Avant de croire que tu peux aimer les autres commence par t´aimer toi

On né comme ça on vit avec ça et on crève de ça 

23 février 2020

Ne serait-il pas temps de changer notre rapport

Ne serait-il pas temps de changer notre rapport avec la mort,

Pour certains c'est une douleur mais pour d'autres, une libération, la fin d'un calvaire d'un tourment, d'une insondable souffrance.....

Publicité
Publicité
6 novembre 2019

Note pour no futur

Quelque part se suicider c'est sauver la planète...!

9 novembre 2018

Tango sans Cash

Mouais ça pue
C'est noir
C'est triste
Comme un dimanche soir
Sur les boulevards
L'ombre d'un dark Christ

Sur la peau qui évolue
Le feu sur la piste
Le plein de haine dans les rues
Excès excès toujours arriver dans les délais


Hors piste âme triste
Mais pas d'économies dans le vice
Palpite pompe malhabile jusqu'à l'explosion
Accumulation, introversion, inondations
Reste à hurler dans ta tête
Tu as de l'eau dans les poumons
Le mal est fait, le mâle est laid
Sombre et anarchique


Arrêt
Du vent, j'ai besoin de vent dans ma tête
De passer par les oubliettes
Sombre idiot
Absurde escroc
Inutile de te graver la peau
Arrache la et ronge toi les os
Jamais plus disait le corbeau


Le coeur moqueur,
L'écume au bord de l'horreur
Même pas joueur
Mais y met toute son ardeur
Haut de coeur, haut de coeur
Le mâle est un violeur

Menteur paranoïaque

Humeur psychopathe


Rengaine de haine

De la lave dans les veines
Prends garde à la douleur qui se réveille
Ses maux font des merveilles


Même si rien ne bouge
Le fossé s'étend
Quand ton coeur verra rouge
Je giclerai comme un gland
Obscène, de l'eau dans ma haine
Pour diluer le fiel
Cette sensation étrange
Qui me ronge me dérange


Obscure, obscène, me rature, m'obscède
De Dr rire à Mr bad
Je t 'emmène du rire aux larmes
À t'en flinguer une colonie de cafard


Qu'on me coupe la tête
Cette bête est obsolète
Obstinée et déréglée
Trop de choses imaginées
Du pue dans les hémisphères
Tu n'es plus que colère
Ton 7eme vice
Toujours au bord du précipice


De guerre las
Quand plus rien ne se tasse
C'est avoir les poings serrés
Mais genoux à terre
Les dents acérées
Plantés dans l'éphémère


Je hais ma vie
J'adore mes nuits
Dans l'infinie
Je rêve d'oubli


Je hais cette partie de moi gerbante à se pendre émotion méprisable faiblesse évitable que revienne le gel la pluie et ma haine sous le heaume plus de visage que la ferveur de ma rage
Songé en elle mièvre utopie te ramène vers sombre folie coeur malvoyants ne cherche que peine pour rester vivant illusion d'existence d'une âme morte née enterrée putréfiée armure lacérée


Retour au gel


Et le mur se rapproche
L'humour est la poésie du désespoir
Sentiments anarchique entraîne vie chaotique
Sentiments archaïques entraîne vie colérique


Suis éventré.... coeur lacéré
tu sais que tu me touche me plait
J'ai craqué ma jalousie me tue ta présence elle me guéri


Se fracasser comme un pilier de comptoir
Contre un pilier le cauchemar terminé
Sobriété lâche moi laisse moi couler
Au fond de cette bouteille de plein pied
Lâché à nouveau abandonné
Pieds et poings liés sans respirer


Mais je ne sais que me taire


Sans haine et sans peur
Sans joie et sans pleure
D'un commun immortel
Ne plus chercher à plaire
Exploser les hémisphères
Naufragé cherche guerre
Pour que paix ne puisse se faire
Statue de square se prend pour une star
La goutte désespoir tâche son oeil d'ivoire
Pourtant ce n'est que merde d'oiseau
Ta beauté n'est que pipeau


Comme un levé du jour
Les fantômes se font chier
Font un petit tour
Et rapplique à la nuit tombée


La joie de vivre en errance
Ou l'oubli en toute conscience
Mon coeur balance
Absurde délivrance
Tu vivra au bout ta pénitence


Ça glisse dans mes mirages
M'en sortir c'est terre lune à la nage
Pour tout pourrir j'ai pris de la marge
Enfin


La première goutte
Viens de tomber
La pluie de nouveau
Et le retour des chemins boueux
Commissures deridées
Enfin se laver
Sens unique il me faut de la simplicité
Je ne sais où la trouver

Que l'air est froid comme cette mort qui me colle aux doigts

Déjà tu n'est plus là

Restera ta voix qui résonne en moi ?
Inutile tu es
Dinosaure écorché
Tu vas devoir clore cet aparté
Et ta vie à nouveau respirer
Car le bien ne fais jamais que passer
Car c'est bien tristesse que tu as épousé
Toujours à attendre la pluie pour te laver
Ouvre les yeux elle ne fait que tomber

 

Boxman-df426e77-ef52-3d28-bcc5-37520f87e8a5 

 

 

7 octobre 2018

Hostile

Quel est ce déclic qui repousse le clic hémorragique pathétique
Sous l'armure des kilomètres de peau abandonnée prête à être repassée, sous les fourches caudine, qu'importe si la main est malhabile, pourvu qu'il y ai l'envie, l'ivresse ou la paresse, putain que j'aime tes fesses, story en devenir, si tu penses vraiment que le meilleur reste à venir, alors je suis Toutes ces tristesses que j'ai écumés tout ces chemins de liesse que j'aurais pu emprunter mais que j'ai soigneusement évité, volontairement laissé filer les soupirs et les caresses, désirs et faiblesses,
Toutes ces âmes connues, trop peut être,
La vie c'est pas le paradis non c'est le purgatoire si t'es la c'est que toi aussi tu as une note à racker mais derriere tout ça parfois je vais bien ou alors je me ment bien
J'ai connu une prudence et elle n'aimait pas la securité
aucune confiance possible encore moins de compréhansion, entre les gouttes du plaisir, le grand jeu des trahisons
Mon encrier est hemophile ma haine unanime

my pain is my gain

9 juillet 2018

BorDom

ennui

lassitude

famine de l'ésprit

monologue

pluie

boue

fossée

mains de sable

Epistolaire solitude Bouche cousue Dents serrés Pieds liés Poings fermés Déception Émotions censurées Sexe en berne
21 février 2017

Nature et tête de gland, Tu l'as trouvé toi ta postérité,

Vagues parfaites, muses tempête, sentiment de contentement, je sombre perpétuellement. mendier vos mots, oublier la caresse de la peau, pas de bouée sms, bonjour détresse, insolente désinvolture des sentiments, résilience ou désolation, putain de suffisance tu ne brille qu'à l'ombre des cons
Terre !?, peut être demain, taire !? de toute façon personne n'entend plus rien, pensées vigipirate, moral autocrate, qui de mes moi aura le dernier mot
pieu bandé de bois fait mais pas arbre car racine je n'ai je ne suis pas de la race de ses imbéciles heureux qui sont nés quelque part mais de ceux toujours défait des chemins en boucle de ceinture raseurs de bordures ceux qui n'éxistent plus même dans les trous de serrures comme du blanco sous les ratures, pas de nouvelle vie même pas de nouvelle journée, un ennui sans fin, mélodie pour chien, mélancolie toujours en refrain, bonjour chagrin, comment une magnifique tête blonde pourrait encore me faire bander de sa peau blanche immaculée, des frissons jusqu'aux cendres, se prendre à rêver mais s'il pleut noire sera la marée, se retenir de toucher pour ne pas polluer, évangiles où sont les évangiles, que de mauvaises nouvelles, même têtes même peine même flemme, haine des relations humaines, malgré mon avidité grandissante No is Innocent, ça flanche mais reste impassible, un demi tour irrationnel, le premier pas m'est impossible, éloignement intemporel, demain j'ai dégel, cure de cors au core, coeurs éculés, corps acculés, le jour finira par se montrer, je l'attend pour le plomber, attrait pour une parois blindée, à chaque âme son calvaire, à chaque nuit son orfèvre, coeurs cousus au fil de fer, là où les rêves priment et ou il est enfin temps d'oublier, soulagé, même peut être s'effacer, ne plus payer ses crimes, aubépine et mescaline, je suis la haine désabusée d'un gamin blasé, qui n'a pas rêvé depuis longtemps et désiré au moins tout autant, qu'en sais-je qu'en ai-je retenu, jamais de pardon que de faux bonds et que de pleurs et que de pluies, lourdeur, paresse et insomnies, si dur si froid, si loin si moi, bonjour tristesse, étranger dans ton monde de solitude, finalement ignoré de lard obsolète, lonesome calimero, zombie sans quête que de balle pour sa tête, ou hasard de l'humour, un incident de parcours, d'une brune à la rancune terroriste, langueur sismique, m'agrippe et se soude caustique, humilité est bienveillance quand on baigne dans l'opulence mais les sentiments sont une cage et la raison preneuse d'otages, toujours en ballottage, chaque chose à sa place mais pas de place pour toi chose, tu ne laissera pas de trace, tu n'as même pas l'utilité d'une vieille godasse, insulte aux cloportes, même ton ego a claqué la porte
Toutes ces tristesses solitaire amours délétères même pas foutu de se consommer amer de se regarder, l'hémisphère bouffé par des vers ailés, vie de médiocrité à lutter tu finira par t'y noyer, bonjour pitié, elle est où ta putain de volonté, le cadavre de ta dignité quand avec toi même tu thèse, amour de synthèse, le chagrin bien réel, tu penses trop petit, tu penses surtout à tout petit, mais tu sais vraiment plus se que tu dis, inepties, drames en parodies,
Le bonheur c'est quand je le sent que je claque la porte, raisons et châtiments, promesses d'enfants, si tu tombes je te ment, sa vie chacun de son côté ne jamais se croiser, putain de parallèle comme du plomb dans les ailes de chaque côtés du quai mais pas de ponts, pas une seule passerelles à portée de doigts, rêver d'être un autre que soi

punkGirl by Margarita Hdez (http://www.imgrum.net/user/marguii_25/1406752464/972951989021738137_1406752464)

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 > >>
Publicité
Archives
scarifications
Newsletter
Publicité