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31 janvier 2014

Corruption libidineuse d'une âme plus que douteuse. des maux lient sion

Comment corrompre, trahir, détruire, asservir, qu'est-ce que le bonheur, comment s'ouvrir, sourire, aimer!!, descendre jusqu'aux enfers et remonter, puis redescendre et se noyer, respirer sous l'eau et s'adapter à "vivre" vingt milles lieues sous la merde, sous l'éphèmère, qu'est-ce qui gît, subit mais ne geint pas, coeur meurtri cherche corps pervers comme une tête vide cherche balle de revolver, paroles et actes de croquemitaine ce n'est pas thé verveine mais du fréon dans les veines, que de vide autour, autant que mes beaux discours, des mots, des maux, rien n'a jamais été beau, empereur bourreau, capitaine sans matelot, je n'ai jamais abandonné et j'ai réussi avec succès à me débarrasser de tous ces états d'âmes trop bien élaborés, que trop marché et la vie est un albatros qui ne sent qu'au sol le poids de ses os et qui n'attend que le vent pour balayer les évènements, restless cours sous la vague mais la marée auras ta peau, tu ne feras mouiller qu'elle avec tes oripeaux, tes cauchemars et ton pipeau éternel répulsif naturel, je me perd en sens interdits, débris, mépris et analgésiques, cherche la musique dermique de beautés léthargiques glacées sur le papier, qui dénuées de rhétorique ne sauraient chanter le doux voyage symphonique qui mène à la paix, omniscient sans aucuns talents aux milles monologues délétères n'a pas assez d'yeux pour briller, ne resterait-il que pitié, brûlé déserté les terres de ses pairs, tristes légataires de châteaux de sable et de plastique, que la vue est magnifique depuis le calvaire des misanthrope, synthétique et pathétique, orgiaque philosophique aux canines électriques, bouillie immobile, dernière phase de putréfaction, énièmes étapes, deuxième sous sol, treizième chien de garde sur la gauche, septième paille cinquième tentative, vue sur rien ou sur un enculé de plus, juste enculé et quelque saloperies en sus, overdose de suffisance, braquage de cave, fragile brocante, émotions décadentes, je chie sur la pertinence, je chie sur ma vie, sur moi et mes absences, je chie sur ma fuite, lâcheté des sentiments, dérive de continent, l'amour n'est plus transie, il n'est qu'égoïste, les doutes et le mépris sont solitaire et la morale apparat de vers de terre, diadème de latex, les têtes de bite sont à l'index, larguer mon corps, sac de viande, sac à merde, sac de noeuds, peau de phoque, finir nulle part, cracher de tout mon noir sur ce blanc véreux et n'en faire que du gris d'un ridicule ennui.

 

 

Seule la douleur ne ment jamais

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30 janvier 2014

l'Apathie vient en bandant

Pâle est la lumière de la lucidité, encore plus sombre est toujours la liberté, qu'importe les yeux crevés il faut savoir regarder là ou se mélange mensonges et vérités, rien n'est jamais parfait. Peut importe les maux, il fallait lire entre les lignes, danser avec le dragon plutôt que de chasser Ernestine, rien ne s'éffile jamais, changer de peaux, on ne sait que ce que l'on voit, pas d'angéliques éclats de rires ni de soupirs merveilleux enlacés dans des sourires de paradis vacillant le coeur au bord des yeux à t'en faire péter l'armure, non deux mains et une queue et de l'apathie pour qui en veut, rien ne s'estompe jamais, peut importe les rivières évaporées, des nuages de sky aux infamies, des veines de larmes au goût de styx, l'enfer est personnel, dieux névroptères et apôtres, ne manque que le goût des autres, parfums de solitude jusqu'à l'hallali, caresse apaisante contre souffle de vie, noyade iridescente, c'est la balade nonchalante d'un abruti qui sans un bruit s'échappe de la vie, s'il avait pu, s'il y avait cru, rien n'est jamais vrai, ne reste que pavés et boulets, cendres tombées du ciel et tristesse éternelle, les larmes qui elles seules noieraient le désespoir, mais l'acide dans les veines a troué le réservoir, dissolvant, digérant ne laissant que du noir, hémorragie littéraire, des mots pleins les artères et pas de coeur pour les extraire, les vides ne se comblent jamais, ce qu'il faut être croyant pour espérer la nuit s'illuminer, je n'ai qu'un zippo pour rallumer mon mégot ...

 

 

 

cigarette

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