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25 avril 2016

Somebody loves nobody

le bonheur est une michtonneuse qui se tape de bonnes baises qu'avec des culs bordés de nouilles, un peu comme l'argent qui n'attire que lui même, drôle de moeurs même Narcisse aurait les boules moi aussi j'aime les grosses coupures surtout quand elles s'alignent sur mes avant bras, colonne irascible toujours plantée là, recherche immobile urgence et fracas, quand une demi existence ne suffit toujours pas pour assouvir la pénitence compagne fébrile fidèle pas à pas,

Parce que je suis seul je devrais ne penser qu'à moi même trop d'interrogation subsiste encore ne manque que la parole à mes morts, ils sont nombreux rempliraient la gare du Nord, c'est le retour du dingo, parce que les chiennes ne font que des chiens de la casse qui chie ses maux, toujours à bout et à la place de la bite un cerveau, j'assène, j'assume, j'assaille, je fume, disparaît car fait de brume, monstre libidineux tu fais fuir même les meilleures patineuses du clavier pour ne subir que les tapineuses au porte clé, tous ces blogs qui disparaissent, ces tranches de vies qui s'affaissent, comme des étoiles avalées alors suis-je le fameux trou, affirmation, avaleur d'ombres chieur de vers, je me contenterai de ses échantillons puisque dilettantisme généralisé, parce qu'un réverbère ne projette qu'une lumière artificielle et qu'il ne reste que support d'effluves, fil d'errances périphériques pour truffes humides et vessies pleines, je n'avance pas je tourne en rond dans ma boite à illusions, toutes ces choses que je hais et avec lesquelles je vie, tout est laid presque autant que ma vie, eau bouillante, buée et beauté du fil, princesse hémophile au baiser d'argent, même le silence exige du talent, mais je n'ai que mes dents et encore celles qui restes, boue et charbon ont remplacés ferveur et beauté du geste, rattrapé par la pluie parce que j'ai vécu à reculons, squatter par l'ennui comme une troupe de morpions, j'expire ceinture de plomb et les bouteilles sont restées sur le pont, marée noire, espoir englué cherche à respirer, il finira bien par sombrer et me foutre la paix,

besoin d'identité, de servir à quelque chose et d'exister, tout passe tout s'efface, peut être, jusqu'au temps des regrets, il finit bien sûr par frapper plus tôt que prévu où plus tare tout dépend de quel côté de sa vie on se retrouve, épave sur pattes mais refus de plier, puis viennent les hyènes, engrènent, t'entraîne attise la haine, aiguises, incises fin du beat plus de bpm, que d'aigu comme cette douleur, assourdissante omniprésente sortie d'on ne sait où, pendue à mon cou et pas prête de me lâcher,

mais la panne est généralisée ne reste que du noir en attendant de voir l'aurore à nouveau te mordre, chasser la nuit, réchauffer l'envie et peut être te rappeler la vie.. 

laurine_by_scorch_art-d6kycea

 

Si les voyages forment la jeunesse de l'immobilisme né l'intolérance, l'ignorance et l'envie. Si la masse hystérique crie plus fort elle n'a pas pour autant raison Le "racisme" peut importe sa couleur n'est plus très loin...

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