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14 mai 2016

et sous le cuir la boue

Bouillie immobile, dernière phase de putréfaction, énièmes étapes, deuxième sous-sol, treizième chien de garde sur la gauche, septième paille trente deuxième et ultime feuille, cinquième tentatives, vue sur rien ou sur un enculé de service, un de plus, mais juste enculé et quelques saloperies en sus, overdose de suffisance, braquo de cave, fragiles brocantes, émotions décadentes, je chie sur la pertinence, je chie sur ma vie sur moi et mes absences, je chie sur ma fuite, lâcheté des sentiments, dérive de continent, l'amour n'est plus transie, il n'est qu'égoiste, les doutes et le mépris sont solidaires, salutaires, solitaires et la morale apparat de vers de terre, diadème de latex, les têtes de bites sont à l'index, larguer mon corps, sac de viande, sac à merde, sac de noeuds, peau de phoque, finir nul part, cracher de tout mon noir sur votre conception immaculée du monde parfait et n'en faire que du gris, d'un ridicule ennui.

combien d'épaules brisées, épuisées pour enfin toucher le coeur noir des regrets.

 

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25 avril 2016

Somebody loves nobody

le bonheur est une michtonneuse qui se tape de bonnes baises qu'avec des culs bordés de nouilles, un peu comme l'argent qui n'attire que lui même, drôle de moeurs même Narcisse aurait les boules moi aussi j'aime les grosses coupures surtout quand elles s'alignent sur mes avant bras, colonne irascible toujours plantée là, recherche immobile urgence et fracas, quand une demi existence ne suffit toujours pas pour assouvir la pénitence compagne fébrile fidèle pas à pas,

Parce que je suis seul je devrais ne penser qu'à moi même trop d'interrogation subsiste encore ne manque que la parole à mes morts, ils sont nombreux rempliraient la gare du Nord, c'est le retour du dingo, parce que les chiennes ne font que des chiens de la casse qui chie ses maux, toujours à bout et à la place de la bite un cerveau, j'assène, j'assume, j'assaille, je fume, disparaît car fait de brume, monstre libidineux tu fais fuir même les meilleures patineuses du clavier pour ne subir que les tapineuses au porte clé, tous ces blogs qui disparaissent, ces tranches de vies qui s'affaissent, comme des étoiles avalées alors suis-je le fameux trou, affirmation, avaleur d'ombres chieur de vers, je me contenterai de ses échantillons puisque dilettantisme généralisé, parce qu'un réverbère ne projette qu'une lumière artificielle et qu'il ne reste que support d'effluves, fil d'errances périphériques pour truffes humides et vessies pleines, je n'avance pas je tourne en rond dans ma boite à illusions, toutes ces choses que je hais et avec lesquelles je vie, tout est laid presque autant que ma vie, eau bouillante, buée et beauté du fil, princesse hémophile au baiser d'argent, même le silence exige du talent, mais je n'ai que mes dents et encore celles qui restes, boue et charbon ont remplacés ferveur et beauté du geste, rattrapé par la pluie parce que j'ai vécu à reculons, squatter par l'ennui comme une troupe de morpions, j'expire ceinture de plomb et les bouteilles sont restées sur le pont, marée noire, espoir englué cherche à respirer, il finira bien par sombrer et me foutre la paix,

besoin d'identité, de servir à quelque chose et d'exister, tout passe tout s'efface, peut être, jusqu'au temps des regrets, il finit bien sûr par frapper plus tôt que prévu où plus tare tout dépend de quel côté de sa vie on se retrouve, épave sur pattes mais refus de plier, puis viennent les hyènes, engrènent, t'entraîne attise la haine, aiguises, incises fin du beat plus de bpm, que d'aigu comme cette douleur, assourdissante omniprésente sortie d'on ne sait où, pendue à mon cou et pas prête de me lâcher,

mais la panne est généralisée ne reste que du noir en attendant de voir l'aurore à nouveau te mordre, chasser la nuit, réchauffer l'envie et peut être te rappeler la vie.. 

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Si les voyages forment la jeunesse de l'immobilisme né l'intolérance, l'ignorance et l'envie. Si la masse hystérique crie plus fort elle n'a pas pour autant raison Le "racisme" peut importe sa couleur n'est plus très loin...

16 mars 2016

Alter nativ ego sans strip tea-time

Entre guillotine et œillères, des listes d'amis telles des cimetières en plein désert, ni morts ni vivants, que de boniments, les mains clouées à l'azerty, j'apprécie, ne reste que les riffs du genre qui te pousse à verser une larme : comme si tu contrôlé le débits de ta connerie, je me brûle les lèvres d'essayer de m'apprivoiser, la nuit je vie, la nuit je vois, noir dans le noir nu comme mes vers c'est toujours le jour que je ment que je me pend à ce monde crépusculaire en pleine lumière et même s'il n'est pas non plus pour moi l'on fini par l'aimer tout au moins par l'apprécier lui et toute sa vie dedans qui s'agite qui s'excite, les poils et les poings dressés même si je hais l'humanité je jubile de la voir se consumer se consommer à fleur de mots, peau contre peau, ego sur ego et tout ce qui l'altère, cadavres pris de soubresauts pour toute émotion de la poussière, pour tout horizon de la lumière post capitaliste toujours à genoux mais la bouche grande ouverte, qu'avaleras-tu jusqu'à la lie, qu'en chieras-tu en postant tes avis. je ne souhaite plus être peut être est-ce mérité, effluves de vie du fond de mon ennui le cœur comateux, coma terreux, qu'elles m'appellent mon homme et peut être que me dressera la queue.

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8 février 2016

te meprend pas mais .. tu perd ton jus..evangile selon st jack Daniels 9,9-9

Le Monde appartient à ceux qui ne dorment pas, mais la bétaillère déborde, on se pisse dessus, on dort sur les cadavres des futurs morts nés, génies à peine éclos , boucherie dans l'enclos, le mâle affirme sa domination, quand la musique s'arrete quoi qu'on en doute le monde est beau, si l'on fait abstraction de nous humains animaux qui pensent qu'au 366eme jour le monde redevient nouveau,

Nuances de noir sur noir écrit blanc sur blanc je ne suis que brouillard et se dissiper au soleil est plus que temps
Arrache Coeur haut les coeurs haut le Coeur
La haine en liesse comme de la paresse les larmes en laisse gel et simule la faiblesse part en thèse, des kilos maîtres d'autoroutes orphelins de falaises de noeuds de chaise sous la voûte, plan terre, vue sur mer et des yeux partout tout le temps, fluctuât nec mergitur, des sentiments en garbure, tu nés tu meurs entre les deux pense à pointer tes heures, sinon plus de rêves plus de trêve, plus que de la grève, à perte d'horizon, mais pas de vague comme toujours pauvre con, ne reste que cette blague, bien trop longue à mon goût, ce n'est qu'une suggestion, est-ce que se laisser porter c'est être un mouton au même titre qu'anticiper c'est fuir le présent et par extension la réalité, non je ne suis pas en transe et je ne vois surtout rien venir, je sent la morsure mais plus la brûlure, suis inconscient ou bien mort à présent, vivre c'est avant tout accepter de mourir, souffrir, courir et laisser couler, la masse léthargique ne se nourrit plus de l'ésprit mais de bien trop d'inepties, persuasion de et attentisme à profusion , génétique ou génitale faut il  vraiment entrer dans les annales. L'équilibre n'est jamais parfait c'est pour cela que tu te surprend à pleurer
Je ne suis pas Charlie encore moins Paris je ne suis ni blanc ni noir ni gris, ni lâcheté ni courage, peut être un peu de mépris et de rage mais surtout indifférence au cœur des naufrages, traverser sa vie marée noire à la nage, gerber sur l'envie et fuir son entourage, même si rien n'a de sens, même si ma peau sent l'essence, l'errance reste plus nourricière que l'abondance, quand l'ennui devient ami, l'oubli n'est toujours pas une thérapie, l'humeur alcaline, je rêve d'un alzheimer bâtit comme un doppelgänger, le rêve en horreur, 20 ans après que reste t-il de cette rumeur, de peine de sexe aux pannes de coeurs, suis-je toujours bruit et fureurs, verve et éloquences, que dire de ces silences, nomade intégral des pieds à l'esprit mais il me manque 21 grammes, quand plus rien ne vous étonnes ni ne vous fait vibrer reste t-il encore quelque chose à dévisager....

Si le savoir est une arme, l'ignorence est un godemichet [Mr Prim's Parolier]

 

c10

27 août 2015

analyse balistique d'un dommage domestique

 Debout,

comme toujours ou presque, même à bout, ne jamais mettre genou,

à terre, jamais de prières, sauf pour toi, si belle A

 ce que l'on peut perdre quand on se hait,

bien plus que de soi, tous ces morceaux de toi,

me rappellent à jamais Ô combien j'ai foiré

Deux bouts,

là sur le bas coté, je te regarde passer,

sans voix, sans voie ... sans après, 

la gueule du "guerrier", s'endort sur ses lauriers et se prend à rêver,

de porc en cure, à nouveau te toucher, syndrome du malin, 

mourir est sinécure, mais la vie acharnée,

j'ai beau marcher, poudre aux yeux et nez bouché, tu n'empruntes pas le même chemin,

De boue,

je n'ai fait que penser, d'éspace en passe-passe,

tricher mais t'aimer et te voir filer, du sable et de la joie,

le monde entre tes doigts, chrysalide éclot ne laisse traces,

que je ne te piste pas à pas, ton sourire me manque tes mots,

soupirs et suffocations plane au dessus du lot

je te dois tout, tu me dois colère,

et je t'offre toute ma fierté genou à terre.

 

fumeuse low A (oeuvre by Dziff dziff.com)

 

pas besoin de compassion mais de compréhension, avant de se retrouver du mauvais côté du gazon

 20615

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9 janvier 2015

Il pleux des anges sur mon parebrise

Parce que je ne suis personne parce que nous ne sommes rien en somme parce que l'hypocrisie est toujours plus forte que l'humilité parce que s'indigner passe aussi vite qu'une envie de chier, adolescents inconsistants addictions et crise d'identité parce que le moment présent c'est déjà du passé il ne restera toujours que de larmes à couler, la vie c'est du vide la vie c'est du vent on a jamais vu plus stupide de mémoire d'éléphant adieu monde cruel, tu es si loin du compte, si loin du bord ton bateau coule et tu rames encore,

l'homme est un con et le bon sens anonyme

 

raven-smoke-julian-b

5 janvier 2015

Lust, Vices, Sins and holy bible

comme par habitude il tombe des cordes, ne reste plus qu'à trouver la bonne.
Je suis un dieu bien que hors jeux, putain de solitude et putain de collier mais quitte à errer sans servitude autant le faire avec une chienne désabusée, de l'art ou du cochon, de l'âme ou du pognon, des larmes jusqu'au plafond peut importe le style il faut avoir l'air con, de la baise en communion, dieu est à l'image de son homme absent, abscons et sans grande vision que la taille de son appendice et de quelques situations propices pour brouiller les pistes de l'évolution, vêtu de plastique délétère il songe d'une nuit souriant à paris, le sang de la vie dans les artères mais sauf oublie elle est déjà bien décrépie, que dire alors de se sang de mort qui coule dans les veines, de cette coupe pleine, de vide te suce pend, dédale d'arride, "t'entraine" te dévore et te pourfend.

je me brûle toutes les nuits de cet inséparable ennui compagnon bien malgré lui d'une délits chieuse solitude reine de l'absurde témoin éloquent de tes monologues de sourds et à qui bien sur tu ment, Thé prend donc le fou en a6 évidemment le style c'est de l'argent, du noir en pass vip, des incendies en néons, pour parfum le poison volutes passion-putréfaction, caresses perverses pauvres petites chattes blessées délaissées ne leur reste que respect entre l'autoroute et le fossé

 

By theSign 200

31 janvier 2014

Corruption libidineuse d'une âme plus que douteuse. des maux lient sion

Comment corrompre, trahir, détruire, asservir, qu'est-ce que le bonheur, comment s'ouvrir, sourire, aimer!!, descendre jusqu'aux enfers et remonter, puis redescendre et se noyer, respirer sous l'eau et s'adapter à "vivre" vingt milles lieues sous la merde, sous l'éphèmère, qu'est-ce qui gît, subit mais ne geint pas, coeur meurtri cherche corps pervers comme une tête vide cherche balle de revolver, paroles et actes de croquemitaine ce n'est pas thé verveine mais du fréon dans les veines, que de vide autour, autant que mes beaux discours, des mots, des maux, rien n'a jamais été beau, empereur bourreau, capitaine sans matelot, je n'ai jamais abandonné et j'ai réussi avec succès à me débarrasser de tous ces états d'âmes trop bien élaborés, que trop marché et la vie est un albatros qui ne sent qu'au sol le poids de ses os et qui n'attend que le vent pour balayer les évènements, restless cours sous la vague mais la marée auras ta peau, tu ne feras mouiller qu'elle avec tes oripeaux, tes cauchemars et ton pipeau éternel répulsif naturel, je me perd en sens interdits, débris, mépris et analgésiques, cherche la musique dermique de beautés léthargiques glacées sur le papier, qui dénuées de rhétorique ne sauraient chanter le doux voyage symphonique qui mène à la paix, omniscient sans aucuns talents aux milles monologues délétères n'a pas assez d'yeux pour briller, ne resterait-il que pitié, brûlé déserté les terres de ses pairs, tristes légataires de châteaux de sable et de plastique, que la vue est magnifique depuis le calvaire des misanthrope, synthétique et pathétique, orgiaque philosophique aux canines électriques, bouillie immobile, dernière phase de putréfaction, énièmes étapes, deuxième sous sol, treizième chien de garde sur la gauche, septième paille cinquième tentative, vue sur rien ou sur un enculé de plus, juste enculé et quelque saloperies en sus, overdose de suffisance, braquage de cave, fragile brocante, émotions décadentes, je chie sur la pertinence, je chie sur ma vie, sur moi et mes absences, je chie sur ma fuite, lâcheté des sentiments, dérive de continent, l'amour n'est plus transie, il n'est qu'égoïste, les doutes et le mépris sont solitaire et la morale apparat de vers de terre, diadème de latex, les têtes de bite sont à l'index, larguer mon corps, sac de viande, sac à merde, sac de noeuds, peau de phoque, finir nulle part, cracher de tout mon noir sur ce blanc véreux et n'en faire que du gris d'un ridicule ennui.

 

 

Seule la douleur ne ment jamais

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30 janvier 2014

l'Apathie vient en bandant

Pâle est la lumière de la lucidité, encore plus sombre est toujours la liberté, qu'importe les yeux crevés il faut savoir regarder là ou se mélange mensonges et vérités, rien n'est jamais parfait. Peut importe les maux, il fallait lire entre les lignes, danser avec le dragon plutôt que de chasser Ernestine, rien ne s'éffile jamais, changer de peaux, on ne sait que ce que l'on voit, pas d'angéliques éclats de rires ni de soupirs merveilleux enlacés dans des sourires de paradis vacillant le coeur au bord des yeux à t'en faire péter l'armure, non deux mains et une queue et de l'apathie pour qui en veut, rien ne s'estompe jamais, peut importe les rivières évaporées, des nuages de sky aux infamies, des veines de larmes au goût de styx, l'enfer est personnel, dieux névroptères et apôtres, ne manque que le goût des autres, parfums de solitude jusqu'à l'hallali, caresse apaisante contre souffle de vie, noyade iridescente, c'est la balade nonchalante d'un abruti qui sans un bruit s'échappe de la vie, s'il avait pu, s'il y avait cru, rien n'est jamais vrai, ne reste que pavés et boulets, cendres tombées du ciel et tristesse éternelle, les larmes qui elles seules noieraient le désespoir, mais l'acide dans les veines a troué le réservoir, dissolvant, digérant ne laissant que du noir, hémorragie littéraire, des mots pleins les artères et pas de coeur pour les extraire, les vides ne se comblent jamais, ce qu'il faut être croyant pour espérer la nuit s'illuminer, je n'ai qu'un zippo pour rallumer mon mégot ...

 

 

 

cigarette

11 décembre 2013

taint, baudelaire ou la loi du marché

A des siècles de se corps colère, soif de désirs mais gueule de bois définitive,  perdu dans les volutes de coups et de poussière, l'âme remplaçable, la haine irréprochable, retour sur labours, on tri, on entrepose, pour finir dans les même lits l'espace d'un instant avec tout nos dénis qui se superposent, corps arthrosés, cœurs ankylosés, sensations divisées, sexualité putréfiée et encore respirer, de l'ennui de tout temps, s'effile, se faufile entre les ombres, défilent les défis de corps nus en cornus, sourire sur apothéose qui ne viendra jamais, parce qu'une chatte reste un gouffre sans fond autant qu'aucun homme ne mérite le pardon, lâcheté et faiblesse en plastron, plus rien pour absoudre veuillez entendre raison, natural insane, orfèvre de l'éphémère, même gelé dans l'hiver tout n'est que fumées qui dégèlent l'été arrivé, quand on serre trop fort tout s'évapore, souvenirs troués, gobés par les feux follets sempiternels, ridicule phénomènes, syndrome de la gueule cassée, trophées de chaire et histoire stratifiée, costume obscène pour parer, que de paumés à délurés, ignorés, oubliés, à en faire des cadeaux pour que trois cons lisent ton blog jusqu'à imploser, exposée sur de jolies vidéos d'aucun renom, kill them all, tu retrouveras les chiens, dans les peaux diluviennes, dessèchent et s'évaporent au matin, nues te laisse la rosé chagrin sur les plaies ouvertes de l'acide des mots, quand le laid est bien plus beau que la plastique linéaire, reste du vent entre les hémisphères, masturbation épistolaire, labourage de chairs, victimes de la nuit cherchent étoiles, s'enfuir de la vie est primordiale,

 

 

 

Le présent n'existe pas

 

Tetsuo_by_wyv1

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