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21 octobre 2013

pas de réseau

vérité qu'elle vérité, veilleur d'ennuis, l'espoir toujours au fond, bien campé sur mes pied comme un trait de génie, baigné d'amour et d'empathie toujours pas non, les semelles collées je ne sais surtout plus bouger, torticolis du passé, marcher sur la corne comme libéré sur l'asphalte bleutée, encore naufragé et dans l'écume recommencer, se réveiller sourd et muet, plutôt que d'être bon à plier je préfère être bon à rien, l'humilité est une lacune de l'apprentissage et l'art en est une leçon, à force d'y laisser des bouts je suis un homme trou, plutôt que consistant et sage je suis lisse sans visage, préfère couler que de mener ma barque, préfère sombrer que de me faire mener en bateau, le comble de la vie c'est grandir dans une boite, lancer les dés, en faire des caisses et finir dans un cercueil, chercher les chaleurs, fuir les odeurs, lustrer son cœur, redéfinir le bonheur, pertes de temps rien ne s'oublie, rien ne se fuit, tout s'écrit en misanthropie,

 

 

 

X89_Cybobrain

 

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26 août 2013

Stromae - Formidable (ceci n'est pas une leçon)

23 mai 2013

D

500 visites quand même !! Merci à ceux qui supporte l'égout et les odeurs pour y revenir, ...

16 avril 2013

XVI.IV.MMXIII

Il n'y a vraiment plus rien à dire.

9 avril 2013

Les charognards

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4 avril 2013

13 èmes bas fond, j'irais chier sur ma tombe

le jour encore se lève, signature tacite d'une nouvelle trêve, en attendant la nuit, j’oublie la vie, qu'y a t-il encore pour nous leurrer dans cette lancinante insomnie, prostitutions de paradis, chassez le naturel il revient te faire la peau, l'hésitation est mortelle et la pensée positive aberrée, si la clameur s'éveille les moutons se dénombrent en troupeaux et qu'importe les homélies, tout se finit, épitaphe, absinthe et naphtaline, de la compassion pour lexomil, des tonnes de caisses, e-commerce de détresse, insidieuse morale humaine, on ne récolte jamais ce que l'on sème, s'il est plus que probable que la mort me saille, pourquoi ne pas mariner là raille que vaille, sans lâcher la barre, immobile tu t’égare, mais figes l'instant, le lieu pas le temps, emprunt de l'insaisissable légèreté de ne pas être, toute cette merde semée pour un narcissisme décalé, rien appris rien à prendre, summum de l'autosuffisance, passager de l'ignorance, je chie sur mes propres doléances, vers solitaire et transit funéraire, j'attend.

 

cigarrette-skull-smoker-tattoo-tattoos-Favim

8 mars 2013

miss myself, 7ème marche, suffocation.

pas de dentelles, pas de chimie, certes quelques sensations bien réelles, mais surtout pas une once de vie, ce monde qui sourit me laisse sans dent même plus contre lui, apaisé ? bien sur que non mais fatigué plus que de raison, pas de couronne ou peut-être d'épines, là ou l'éspoir s'immole plus rien n'est fragile, la masse hystérique provoque toujours la contradiction mais le nouveau souffle n'est qu'illusion, arff tu penses toujours toucher le fond mais les chevilles engourdît cherchent sensations, si l'apnée fuit les têtes baissées ce n'est pas sans raisons, pluie de béton cherche coeur de pierre et peau rouillée, confusions linguistique, je ne suis pas un clown triste, bien loin de moi cette comparaison médiocre car même s'il ne me reste que mon froc, sous cet univers latent, je suis maître de céant, pied bot frontal droit, horizon vertical, position latérale de spleen, amnésie catatonique pulmonaire, mais l'oubli semble réfractaire, autopsie pour somnifères, j'éspère ne pas toucher terre, paupières gercées, sursit périmé, ne reste de souvenirs qu'un avenir avorté.

Agonie-dun-baigneur-a25396893

4 mars 2013

petit tour de toîts

je tuerai tous ceux qui osent penser m'aimer, 

de terre-plein toujours en bordure,

je préfère de loin être dénié,

pas de sourires contre nature, 

pas de langues déliées,

serrer les proses des poings,

qu'importe les chemins que je prendrai seul,

dans les mur tout ne vaut rien,

quitte à se les foutre dans la gueule,

 bien sur que j'ai le choix,

mais à l'union je lui préfère le deuil,

et tous les verres ou je me noie,

à trop fumer dans le noir,

au risque d'y voir le fond,

je finirai par trouver l'éspoir,

d'être le roi des cons.

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4 mars 2013

saez toujours

28 février 2013

La gerbe ignominieuse du petit ours marron

I can't stay, l'envie n'y est pas and i've already lost my soul.

Piscine gelée pupilles mouillées, besoin de tout envie de rien surtout, mais de la merde jusqu'au coup, suivant, je patiente mais n'attend rien, suis un chemin, m'y perd en délires divers, seule saison sur mon plastron, mon cheval est de bois défait, pas de cases à coloriées, une seule couleur à étaler, tout le noir de ma vie pour qui j'écris, sans qui je ne suis, non je ne resterais pas, je ne suis pas fais pour ça, je me fout des colliers et des gamelles lustrées, que l'herbe soit plus verte autre part, il n'y a que noir et blanc dans mon regard, fuir pour ne pas s'éteindre, rester et dépérir bouffé par la vie, combien de kilomètres de trop encore, combien de kilomètres de peau sous mes doigts morts, non je ne reste pas, je n'ai jamais été là, il y a bien trop longtemps que j'ai les deux pieds dans le trou, que je tiens debout rouillé par des clous, tout tourne autour, perpétuelle gueule de bois, si je reste tu t'en mordrais les doigts, la peau gelée ne sait que gercer, jamais frissonner mais nécroser si l'on cherche à la réchauffer, courir courir, loin de ces amours, autopsie ou labours, peut importe l'ivresse pourvu qu'il y ai le flacon, au royaume des caresses les queues sont légions, il ne reste de la tendresse que peu de mots et des bribes de soumissions, ici saurait probablement être ailleurs, mais avec des "si" il n'y aurait pas d'erreurs, il n'était pas question de rester mais d'une certaine durée, blasphémer, déchiré, tout nous est compté, disséqué, déporté, parti avant d'être arrivé, la lumière ne se voit sans la nuit, finirais-je attiré, amorphe, lucidité balayée, mais passager sans billet seul dans l'ombre je saurais rester.

 

Sakamichi-no-Apollon-Episode-1-gif1

 

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